L’ailier d’Osasuna Ruben Garcia ne sera pas disponible pour Los Rojillo mardi soir, alors qu’ils se rendent à Chiclana en Andalousie pour leur affrontement en Copa del Rey. Il continuera à contribuer aux efforts de nettoyage de la Communauté valencienne suite à la tragédie de la tempête DANA. Après les crues brutales causées par la tempête DANA, qui a coûté au moins 215 vies au moment de la rédaction de cet article, de nombreux éléments du football espagnol ont réagi en solidarité avec la région. Le manager d’Osasuna, Vicente Moreno, a fondu en larmes lors de sa conférence de presse de vendredi avant le match contre le Real Valladolid. Il a ensuite été vu le lendemain en train d’aider dans sa ville natale de Massanassa aux efforts de nettoyage. Osasuna collaborera à la reconstruction de Massanassa, la ville de son entraîneur, Vicente Moreno.https://t.co/M5XsthF1O3#OsasunaWithMassanassa pic.twitter.com/VY4pZlgZV2 — CA OSASUNA (@osasuna_en) 1er novembre 2024Garcia est également rentré chez lui le lendemain avec une camionnette pleine de provisions jusqu’à son domicile de Xàtiva, entre Valence et Alicante. Il y est resté depuis, comme le détaille Marca. Garcia a demandé à Osasuna la permission de rester là-bas et de continuer à contribuer aux efforts de nettoyage, manquant ainsi leur affrontement avec Chiclana. Ruben Garcia aussi vin avec une furgoneta llena de ayuda…Después del partido y ahí sigue ayudando
Graciassss pic.twitter.com/L2PJJu36M8 — Rosa Santos Molto (@rosasantosmolto) 4 novembre 2024Au milieu de plusieurs actes de solidarité, le Real Betis a également envoyé des fournitures et fait un don de 100 000 € à la cause, organisant une collecte sur son terrain d’entraînement, explique Relevé. Beaucoup de leurs joueurs ont également fourni des fournitures, mais à la demande du club, ils ont décidé de ne pas rendre publics leurs actes de charité – même si cela a quand même été révélé. Ce ne sont que deux autres actes de solidarité et d’aide parmi tant d’autres dans le football espagnol, avec beaucoup de désir de la part d’autres clubs d’aider et de contribuer ce qu’ils peuvent. Le même média explique que le football dans la région pourrait mettre un certain temps à revenir à la normale, avec 105 terrains endommagés et 15 complètement détruits au point de devenir méconnaissables.