Le Stade Brestois a terminé une année historique en Ligue 1 avec une victoire catégorique 4-1 sur le FC Nantes au début du mois. Le club du Finistère breton a frappé bien au-dessus de son poids toute l’année, atteignant des sommets inattendus en cours de route. Les hommes d’Éric Roy n’ont perdu que trois matchs en Ligue 1 entre janvier et la fin de la saison dernière, réalisant ainsi leur meilleur classement dans l’élite (troisième). Une saison après leurs exploits historiques dans l’élite, les Pirates sont l’un des les plus grandes surprises de l’UEFA Champions League jusqu’à présent. Pour sa toute première participation à cette compétition, Brest a engrangé quatre victoires en six matches, totalisant 13 points et s’assurant au pire une place pour les huitièmes de finale de ce tournoi.22 – Selon l’Opta Predictor, Brest ne peut pas pas finir en dessous de la 22e place de la phase de ligue de cette édition de la Ligue des Champions (32% de chances d’être de finir dans le Top 8). Qualifié. pic.twitter.com/5XhjoLxF1C— OptaJean (@OptaJean) 10 décembre 2024S’ils parviennent à remporter leurs deux dernières confrontations en phase de championnat, Brest terminera dans le top huit et obtiendra une place automatique en huitièmes de finale. ont subi huit défaites après 15 journées, soit une de plus que lors de leur précédente campagne dans l’élite. Même si cela le place pour l’instant dans la moitié inférieure du classement (11e), tout compte fait, 2024 a été une année remarquable pour le club. Brest a marqué 52 buts en Ligue 1 en 2024 et remporté plus de 40 % de ses matchs dans la compétition. ; tous deux sont des records de club sur une année civile.43,8% – Brest atteint l’année 2024 avec 43,8% de victoires et 52 buts en Ligue 1, ses nouveaux records sur une année civile dans l’élite. Fest-noz. pic.twitter.com/AAj3PtRMd3— OptaJean (@OptaJean) 15 décembre 2024Ils ont marqué des points lors de six de leurs sept précédentes rencontres de Ligue 1 au Stade Francis-Le Blé, marquant trois buts ou plus lors de trois de ces rencontres.GFFN | Joël Lefèvre